29 juin 2013

Monstres Academy de Pixar

12 ans après Monstres et Cie (2001), les Studios Pixar sortent Monstres Academy


Un film d'animation avec les mêmes personnages principaux, mais dont l'action se situe avant le premier opus (un prequel)

Synopsis :
Bob Razowski dit "Bob" et Jacques Sullivent dit "Sulli" sont inséparables, mais cela n’a pas toujours été le cas. Quand ils se sont rencontrés, ces deux monstres très différents se sont tout de suite détestés. Monstres Academy révèle comment Bob et Sulli ont réussi à surmonter leurs différences pour devenir les meilleurs amis du monde.


Mon avis :
J'ai vu ce film sans voir le premier, donc beaucoup de références à Monster et Cie m'ont forcément échappé. Evidement vous apprécierez d'avantage si vous êtes en mesure de cerner tous les clins d'oeil.

Néanmoins l'histoire m'a assez plu, et j'ai trouvé que le film véhiculait des messages justes, qui font de ce film un bon divertissement avec un potentiel éducatif (valeur de persévérance, de respect de la différence, de l'esprit d'équipe).


Le film présente nos deux personnages comme deux jeunes étudiants à l'opposé l'un de l'autre. Au début, ils n'ont aucun point commun, et ils se tirent même dans les pattes.
Ils vont pourtant finir par se serrer les coudes et devenir amis.




Le tout petit monstre cyclope, Bob Razowski, a pour rêve de devenir une Terreur depuis toujours. Il est ultra motivé et ferait tout pour atteindre son but. Malheureusement, son physique trop fluet et sympathique le met à l’écart, et personne ne croit en ses chances de devenir un jour effrayant.




De l'autre côté on a le grand et impressionnant James Sullivent, dit Sulli, qui a les gènes de la Terreur (son père est une célébrité) mais lui ne fait pas beaucoup d'efforts : les profs l'attendent au tournant..




Les événements vont les forcer à travailler ensemble, ce qui soudera leur amitié dans une fin de film pleine d'émotion où chacun des eux s'ouvrira à l'autre.

A Monstres Academy, l'égalité des chances n'existe pas, mais la volonté -voir l'obstination- peut compenser :)


Quant aux énormes campus à l'américaine, nous -les européens- ne les connaissons qu'à travers les films. Donc les multiples événements propres à cet univers nous parlent peu : la rivalité entre fraternités, les cérémonies d'initiation, les compétitions sportives, le bier-pong,  les party étudiantes organisées dans de gigantesques maisons..

Le divertissement reste efficace. J'ai bien aimé ce concept des monstres qui doivent venir effrayer les humains pour remplir leurs jauges. Ça m'a donné envie de voir le premier opus.



Petit mot également sur le court métrage "Le Parapluie bleu" qui précède le film : sympathique mais moins émouvant que l'autre court métrage Paperman de Pixar, qui était diffusé juste avant les Mondes de Ralph 


La Bande Annonce : VO sur Allocine  VF sur Youtube

En salle le 10 juillet 2013

1 commentaire:

  1. on n’a pas toujours ce que l’on veut dans la vie, même si on en rêve depuis tout petit.. C’est sans doute la leçon la plus dure que la vie nous enseigne, mais il faut l’apprendre pour acquérir la maturité.

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